• La Vierge soit avec Nous

    Olivier ayant beaucoup de mal à se remettre

    des suites de cette contamination " Du Covid " il nous a demandé de l'aide pour autre que d'habitude , en effet il a toujours été très économe et il nous a fait la surprise de dire qu'il avait  acheté un chalet à

    "Praz de Lys Sommant " en Haute Savoie 

    Clic >>> Praz de lys -Sommand

    Il devait s'y rendre pour La Signature ce Samedi mais dans son état de Fatigue extrême ,

    c'est impossible donc "Nous lui avons dit de suite

    NOUS Y ALLONS avec UNE PROCURATION

    et vérifier les travaux effectués ,

    Départ ce Jeudi pour arriver Vendredi dans La journée , il est ravi et Tous ici ainsi que "Marie " qui va mais sans  plus .......Le Moral en prend un rude coup ...

    Espérons que ce Séjour de 8 à 10 jours sera bénéfique à Toutes et Tous ;

    Il est évident que Nous donnerons des Nouvelles à qui en veut bien entendu et répondre au mail reçu mais depuis Lundi c'est la Course aux achats de dernières minutes et  ce Mercredi rendez vous chez Le dentiste pour Marie (ravie que son appareil du haut ne lui fasse plus mal , ouf enfin car  "elle a eu tant de mal à devoir le supporter La Pauvre Marie .......Mais il y a du mieux au moins de ce coté là !!!Pour le reste rien n'est gagné encore ...........

    Toujours heureux et ravis de vous lire ,

    Je vais aller me reposer un peu avant

    "La Route Ce Jour ...

    Merci pour votre Amitié et à très bientôt

    #PRESERVEZ VOUS SURTOUT LA PANDEMIE EST LOIN ENCORE DE LA FIN ;

    AVEC TOUTE NOTRE TENDRESSE ET L'AMOUR QUE CONTIENT NOS COEURS ,  Nicole , Marie , Paul (toujours  GO pour Partir se promener )et Toute La Bande de Ch'tis ..............

    Merci si Chère et Tendre LILI adorée

    Merci LILI pour ces images

    qui tiennent au cœur de  "Notre Marie "

    @plus pour des Nouvelles .......


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  • Covid-19 : des malades racontent

    comment ils ont été contaminés

     lors de leur séjour

    dans un établissement de santé

    Voici le Lien ci dessous 

     Clic >>Des Malades racontent enfin ............

    Bien malheureux d'en arriver à ce point 


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  • Un vice-procureur et un commissaire surpris

     dans un restaurant clandestin

    Les deux hommes ont été contrôlés

    en train de déjeuner

     dans un restaurant clandestin du Vaucluse,

    samedi.

     Le ministre de l’Intérieur a demandé 

    la suspension du commissaire.

    Un contrôle embarrassant.

     Samedi 30 janvier, 

    un commissaire avignonnais et 

    un vice-procureur de Carpentras,

    dans le Vaucluse,

     ont été surpris lors d’un contrôle

     dans un restaurant carpentrassien

    ouvert illégalement,

     ce lundi 1er février en citant des

    « sources concordantes ».

    Le procureur,

    membre du Conseil supérieur

     de la Magistrature et délégué de 

    l’Union syndicale des Magistrats (USM), 

    et le commissaire de police étaient

     en train de déjeuner,

     selon les informations de

    France-Bleu Vaucluse.

     Ils ont été entendus au

    commissariat d’Avignon,

     où ils ont reconnu les faits.

     le parquet de Nîmes devrait se saisir

    de l’enquête.

    « Pour être respecté,

     il faut être respectable »

    Interrogé sur France-Inter lundi matin,

     le ministre de l’Intérieur

    Gérald Darmanin

     a annoncé qu’il avait 

    « demandé au directeur général

    de la police nationale,

     dès [dimanche] soir, de suspendre

    [le commissaire]

     et de lui retirer son poste de commandement ».

     « Pour être respecté, il faut être respectable »,

     a-t-il ajouté..............

    Affaire à suivre pour ce vice-procureur ,

    ils ne sont pas au dessus des lois

    et la justice qu'ils représente ....

    C'est une honte et une belle preuve

    que l'on se fiche bien de nous tous ....

    Hélas ce n'est pas un cas isolé ..........

    On ne nous pas tout !!!

    N'est ce pas Anne Roumanoff ? 

     


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  • Les Premiers résultats Tombent

    et ce n'est pas fini ,

    Hélas pour Des Connards de Fêtards .........

    Alors que le couvre-feu était maintenu 

    pour cette soirée du Nouvel An 2021, 

    le réveillon a tout de même été 

    assez animé dans plusieurs départements.

    Bas-Rhin

    Dans la nuit, un homme de 25 ans

     a été touché mortellement par un tir 

    de mortier d'artifice à Boofzheim,

    dans le Bas Rhin. 

    Le jeune a eu "la tête arrachée",

     et un autre homme de 24 ans

    qui l'accompagnait

     a également été blessé au visage par le tir 

    de mortier a annoncé le parquet cette nuit.

     Selon une source proche du dossier, 

    les deux victimes ont mis leur tête au-dessus

     du mortier parce qu’il ne partait pas 

    quand le tir s'est finalement déclenché.

    Bouches-du-Rhône

    Une fête clandestine à Marseille a également 

    été constatée cette nuit.

     D'après la police, 400 personnes

     se trouvaient sur place dans une salle des fêtes.

     L'organisateur a été placé en garde à vue

     pour mise en danger de la vie d'autrui.

     Deux autres personnes ont été interpellées

     pour des violences contre les forces 

    de l'ordre alors que la dispersion

     a dégénéré en bagarre. 

    Un policier a été légèrement blessé

     à la tête et aux jambes et transporté à l'hôpital.

     En tout 156 participants ont écopé

     d'une amende pour non-respect du couvre-feu.

    Gironde

    Des violences urbaines ont marqué

     la soirée du nouvel an à Bordeaux,

     dans la cité des Aubiers.

     Entre 23 heures et tôt ce matin,

     des arrêts de bus et du mobilier urbain

     ont été dégradés et un bureau de poste saccagé 

    avec un départ de feu rapidement maîtrisé.

     Les policiers ont également été visés

     par des projectiles et des tirs de 

    mortiers d'artifice. 

    Selon France Bleu Gironde,

     une trentaine de véhicules ont été incendiés 

    ainsi que des poubelles et 

    des barricades érigées à certains endroits.

    Ille-et-Vilaine

    Une fête sauvage est toujours en cours 

    ce vendredi matin, 

    sur la commune de Lieuron. 

    2500 personnes selon la préfecture 

    se sont réunies pour une rave-party 

    dans des hangars désaffectés 

    sur une friche industrielle, 

    sans respect des gestes barrière.

     Un rassemblement de véhicules a été repéré

     par les gendarmes avant le couvre-feu, 

    indique une source proche de l'affaire. 

    Les forces de l'ordre ont essuyé cette nuit

     des jets de projectiles qui ont blessé

    trois gendarmes.

    Loire-Atlantique

    Nantes, plusieurs voitures ont été incendiées,

     rapporte France Bleu Loire Océan.

     De nombreux feux d'artifices

    ont résonné dans les rues,

     la police, mais également

    un équipage de pompiers

     ont été visé par les tirs de mortiers.

     Pas de Calais 

    C'était le cas également à Calais,

     dans le quartier du Beau-Marais. 

    Deux policiers de la BAC

    ont été légèrement blessés

     et les CRS ont été appelés en renfort. 

    Le calme est revenu vers 3 heures, 

    aucune interpellation n'a eu lieu.

    Le Touquet avec Les Parisiens arrivés ,

    bizarre "On en parle pas évidemment ,

    cela ferait tache pour

    Notre Plus Haut Dignitaire Français !!!

    Moselle

    150 fêtards ont été surpris en plein soirée

     de réveillon sur un ancien site

     militaire à Reding.

     Arrivés sur place vers 22h30, 

    les policiers ont trouvé des participants

     à la rave-party bien décidés à rester sur place,

     et visiblement alcoolisés,

     rapporte France Bleu Lorraine Nord.

     Des CRS ont été appelés en renfort, 

    et ont saisi les groupes électrogènes

     et les bidons d'essence qui permettaient

     de faire tourner le matériel de sonorisation.

    Bien Les Réveillons Sauvages ........

    Pendant ce Temps d'autres Travaillent

    pour Sauver Des Vies .......

    Ils vandalisent , mettent leurs vie en Danger ,

    ce qui serait normal soit

    "Qu'ils paient leurs soins ,

    bon sang et Non La Sécu ;

    Enragées ?

    Oui nous le sommes et il y a de quoi !!!

    Pardon Seigneur , Notre Dame ........

    Prions pour toutes Ces Bêtises


    votre commentaire
  • Il n'y a pas que les 65 ans et + ,

    Tous sont vulnérables , venez plus dans nos établissements en UNITES COVID , bon sang !!!

    Isoler les personnes vulnérables : 

    la prochaine piste du gouvernement ?

    Alors qu'il s'y refusait jusqu'à présent, 

    le gouvernement pourrait-il isoler 

    les personnes vulnérables ? 

    D'après Le Monde, le scénario est sur la table.

    Tous les Français logés à la même enseigne. 

    Alors que le gouvernement pouvait jouer la carte

     d’un confinement territorialisé ou ciblé – 

    en fonction des populations – 

    il a une nouvelle fois choisi l’option de la mise sous cloche

     totale à la fin du mois d’octobre. 

    L’ensemble des départements métropolitains,

     y compris les moins touchés, 

    sont donc concernés par ce strict encadrement des sorties

     et des déplacements,

     au moins jusqu’au 1er décembre prochain.

    Covid-19 : penser au déconfinement

    Alors que ce re confinement de l’automne

    ne fait que débuter, 

    scientifiques et médecins appellent

    à ne pas commettre

     les mêmes erreurs qu’au printemps dernier 

    lorsqu’il touchera à sa fin. 

    Dominique Costagliola,

    directrice adjointe de

     l’Institut Pierre-Louis d’épidémiologie 

    et de santé Publique

     affirme notamment qu’au printemps 

    "nous avons raté le déconfinement".

     Si le confinement est un succès, 

    le déconfinement doit l’être 

    tout autant afin que le scénario actuel

     ne se reproduise pas une troisième fois :

     reprise à bas bruit de l’épidémie et mesures fortes

     qui arrivent trop tardivement. 

    L’exécutif pourrait donc miser sur de

    nouvelles mesures,

     qui suivront directement le re confinement.

     Jean-François Delfraissy,

    président du Conseil scientifique,

     a notamment évoqué le retour

     d’un couvre-feu sur France Inter, 

    expliquant que "le scénario, 

    il est plus d’avoir un confinement de ce type 

    pendant une période d’un mois, 

    de regarder les différents marqueurs et ensuite,

     de sortir de ce confinement, 

    via par exemple un couvre-feu qui pourrait

     se poursuivre pendant le mois de décembre,

     éventuellement couvrir Noël et le Nouvel an,

     pour en sortir uniquement début janvier".

     Cette solution pourrait être accompagnée d’une autre :

     une mise à l’isolement des personnes fragiles.

     Le gouvernement y songerait sérieusement.

    Covid-19 : isoler les plus vulnérables ?

    Lors de sa dernière allocution devant les Français,

     Emmanuel Macron expliquait que décréter

     l’isolement des personnes vulnérables

     était une mesure pouvant être "pertinente"

     mais qui n’était "pas suffisante" à l'heure actuelle.

     "Cette voie n’est pas, au moment où je vous parle,

     utilisable", ajoutait alors le chef de l’Etat.

    Selon les informations du Monde,

     le gouvernement aurait changé d’avis :

     "L’exécutif réfléchit à un scénario conduisant 

    à l’avenir à un confinement des seules personnes vulnérables",

     écrit le quotidien du soir. 

    Interrogé à ce sujet,

     l’entourage d’Emmanuel Macron 

    confirme qu’il "travaille dessus,

     si l’épidémie réduit".

     Qui seraient les Français concernés ?

    Covid-19 : la liste des personnes vulnérables

    Confiner les personnes vulnérables – 

    les plus susceptibles de développer

     une forme grave de la maladie

     – afin de préserver les services hospitaliers. 

    Cette proposition est sur la table depuis

     le premier déconfinement et n’a finalement jamais 

    été mise en place dans l’Hexagone. 

    Le gouvernement a néanmoins précisé à plusieurs reprises

     quelles sont les personnes les plus vulnérables

     face au Covid-19. 

    Voici la liste publiée sur le site du service public.

    Être âgé de 65 ans et plus

    Avoir des antécédents cardiovasculaires

    Avoir un diabète non équilibré ou présentant des complications

    Présenter une pathologie chronique respiratoire

    Présenter une insuffisance rénale chronique dialysée

    Etre atteint de cancer évolutif sous traitement

    Présenter une obésité

    Etre atteint de cirrhose au stade B 

    du score de Child Pugh au moins

    Présenter un syndrome drépanocytaire majeur 

    ou ayant un antécédent de splénectomie

    Etre au troisième trimestre de grossesse

    Etre atteint d’une immunodépression

    congénitale ou acquise

    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

    Ils sont plus chez Les Médias

    que sur le Terrain  pour nous pondre

    ce que nous savons tous

    "ON EST LOIN D'EN FINIR AVEC CETTE PANDEMIE ........

    "Votre Dévoué OLIVIER

    Message de Courage ........

     

     

     


    3 commentaires
  • AUCUN grand média n’a évoqué cette tribune .......Mail reçu de Notre Olivier Au Touquet !!!

    Ils nous prennent pour des CONS ,

    à en devenir FOUS ............. 

    Un collectif de médecins et scientifiques alerte sur les dangers du nouveau confinement

    Chers amis, 

    Une tribune regroupant 300 universitaires,

    scientifiques, professionnels de la santé,

    du droit, de l’éducation et du social,

    a été publiée

    il y a trois jours sur le site internet

    Regards.fr.

    Je suis comme vous,

    je n’en avais pas entendu parler.

    Car AUCUN grand média n’a évoqué

    cette tribune.

    Heureusement le bouche à oreille fonctionne

    et j’ai pu y avoir accès grâce à un ami médecin.

    J’ai été surpris par la véhémence de cette tribune,

    mais je partage leur colère.

    Leurs arguments sont sans appel.

    Je vous en envoie le texte intégral ci-dessous…

    en attendant avec impatience vos commentaires.

    Bien à vous,

    Rodolphe

    ________________________________________

    Texte publié le vendredi 29 octobre 2020 :

    Près de 300 universitaires, scientifiques,

    professionnels de la santé, du droit,

    de l’éducation et du social,

    ainsi que des artistes, se déclarent « atterrés »

    par des discours officiels qui dramatisent

    indûment la réalité afin de justifier des mesures de confinement.

    C’est un secret de polichinelle :

    le re confinement était envisagé

    depuis l’été dernier.

    La stratégie de communication du ministère

    de la Santé s’est déployée autour de cette

    perspective depuis plus de deux mois,

    de façon à le faire accepter par la majorité

    de la population le jour J.

    Les médias mainstream lui ont fourni

    une aide décisive.

    Ils sont le relais et l’instrument privilégiés

    de cette communication.

    Et, force est hélas de constater qu’ils jouent

    très bien le rôle qui leur a été assigné.

    S’appuyant mécaniquement sur les chiffres,

    cette communication consiste

    à ne s’intéresser qu’aux indicateurs

    les plus alarmants,

    en les changeant au fil du temps

    si celui qu’on utilisait ne permet plus

    d’envoyer le message espéré.

    Et si un indicateur a une évolution

    en dents de scie,

    la communication se fait uniquement les jours

    où les chiffres augmentent.

    Il n’y a qu’un seul message possible.

    Avant-hier, 27 octobre,

    la manipulation a encore opéré.

    La totalité des médias a titré sur les prétendus

    523 morts :

    « Du jamais vu depuis le confinement » .

    Or ce chiffre était faux.

    Selon Santé Publique France,

    il y a eu 292 morts à l’hôpital le 27 octobre,

    contre 257 la veille (le 26)

    et 244 (en baisse donc) le 28.

    Mais l’on ajoute les morts en EHPAD

    qu’une fois tous les quatre jours

    en les cumulant.

    Prétendre compter les morts quotidien

    ce jour-là revient donc à gonfler artificiellement

    les chiffres.

    Et c’est étonnamment ce qui s’est passé

    la veille de l’allocution annoncée

    du président de la République, qui a repris

    à son compte ce chiffre faux.

    Est-ce un détail ?

    Non, ce n’est hélas qu’un exemple

    parmi beaucoup d’autres.

    Une deuxième vague prétendue

    « plus terrible encore que la première »

    C’est le président du « Conseil scientifique »

    (M. Delfraissy) qui le disait

    il y a quelques jours :

    arriverait une deuxième vague

    « plus forte encore que la première »

    et nous serions déjà dans

    « une situation critique ».

    Ce genre de prédiction catastrophique constitue

    une manipulation d’un Conseil

    qui n’est pas scientifique mais politique.

    Rien ne permet non plus d’affirmer que,

    sauf confinement,

    « d’ici quelques mois,

    c’est au moins 400.000 morts supplémentaires

    à déplorer » ,

    comme l’a pourtant prétendu hier soir

    le président de la République.

    Enfin, il est également faux de dire que

    nous ferions comme tous nos voisins européens.

    A ce jour, seuls l’Irlande et le Pays de Galles

    ont reconfiné la totalité de leur population.

    Il serait urgent de revenir à la raison.

    Selon les chiffres de Santé Publique France,

    sur les près de 15 millions de tests effectués à ce jour, 93% sont négatifs.

    Et parmi les 7% restant de la population testée positive, plus de 85% ont moins de 60 ans ;

    il s’agit donc essentiellement de personnes

    qui ne risquent pas de faire

    une forme grave de la maladie.

    Au final, moins de 1% de la population est donc

    « à risque »

    et c’est uniquement elle qu’il faut protéger.

    Autre façon de le dire :

    au cours de la période récente

    (entre le 1er septembre et le 20 octobre,

    jour où nous avons fait ce calcul),

    7.621.098 personnes ont été testées.

    Sur cette même période,

    38.100 individus ont été hospitalisés (0,5%)

    et 6.593 ont été admis en réanimation (0,09%)

    avec un test positif au Covid.

    En d’autres termes,

    depuis le 1er septembre,

    sur cet énorme échantillon

    de la population de 7,6 millions,

    la probabilité moyenne pour un individu lambda

    (sans distinction d’âge ou de comorbidité)

    de ne pas être hospitalisé est de 99,5%

    et celle de ne pas être admis en réanimation est de 99,91%.

    Justifier le re confinement

    de 67 millions de Français sur cette base

    s’appelle un délire.

    Hier, le 28 octobre,

    3045 personnes étaient en réanimation.

    Comment parler de saturation

    lorsque l’on se souvient que, fin août,

    le ministre de la Santé annonçait

    12.000 lits disponibles si besoin

    (quatre fois plus donc). Où donc sont ces lits ?

    On dit alors :

    « Oui, mais l’hôpital est submergé par le Covid ».

    Manipulation encore,

    pour trois raisons.

    D’abord, les tests ayant été généralisés

    depuis juillet,

    toute personne entrant à l’hôpital porteuse

    d’une trace du Covid est comptée

    comme un « hospitalisé Covid »

    même si elle vient en réalité pour son cancer

    ou son hypertension.

    Et c’est la même chose si elle entre

    en réanimation ou si elle décède.

    Ensuite, si les chiffres de l’hospitalisation

    et de la réanimation augmentent bel et bien,

    cela n’a rien d’exceptionnel :

    c’est au contraire ce qui se produit

    chaque année à la même époque

    (automne-hiver)

    mais que l’on fait semblant d’avoir oublié.

    Un Alzheimer généralisé s’est-il emparé

    de nos politiques et des journalistes ?

    Faut-il rappeler qu’en janvier 2020,

    à la veille de la crise du Covid,

    1000 médecins dont

    600 chefs de service des hôpitaux avaient menacé de démissionner pour dénoncer

    « un hôpital public qui se meurt » ?

    La vérité est que les gouvernements

    ne veulent pas investir dans l’hôpital public

    où l’on maltraite les professionnels

    et où l’on a perdu près de 70.000 lits en 15 ans

    lors même que la médecine de ville est saturée

    et que les services d’urgence voient

    leur fréquentation augmenter d’année en année.

    Oui, l’hôpital est en tension mais

    ce n’est pas fondamentalement

    à cause du Covid !

    C’est essentiellement à cause

    de la maltraitance politique

    dont ce service public

    est l’objet de manière générale

    depuis plus de 20 ans,

    et tout particulièrement

    depuis que les politiques y ont introduit

    comme partout une politique

    du chiffre et de la rentabilité

    inspirée du management des grandes entreprises.

    La vie sociale amputée,

    la démocratie en péril

    La vérité est que le confinement

    (qui sera peut-être prolongé au-delà

    du 1er décembre) crée bien plus de problèmes

    qu’il n’en résout.

    Son bilan mondial n’est associé

    à aucune réduction mesurable

    de la mortalité tandis

    que son principal résultat observable

    est d’abord de mettre au chômage

    des centaines de milliers et peut-être

    demain des millions de personnes,

    surtout évidemment parmi les plus fragiles

    (emplois précaires, CDD, intérim,

    personnes payées à la prestation,

    saisonniers, etc.),

    et de menacer de disparition la plupart

    des petites entreprises, souvent familiales,

    autres que les commerces de bouche,

    dont l’activité quotidienne

    est la seule source de revenu.

    Gageons que les très grands groupes

    s’en satisferont car ils les rachèteront

    sans doute demain.

    Ces mesures de confinement ont ensuite

    pour effet d’amputer la vie sociale

    de la plupart des liens sociaux

    autres que familiaux.

    Un certain style de vie et

    de pensée embourgeoisé

    s’en satisfaisait certes au printemps dernier,

    chaque enfant ayant sa chambre pour vivre

    son intimité, son ordinateur

    pour rester en contact avec l’école

    et son smartphone avec forfait illimité

    pour échanger en permanence avec ses amis,

    les parents faisant du télétravail,

    sortant chaque jour faire leur footing

    dans des rues et des espaces verts

    « où on entendait de nouveau les oiseaux »,

    et se faisant livrer des repas à domicile

    s’ils avaient la flemme de faire à manger

    ou la peur d’aller se mêler à la populace

    dans un supermarché.

    Mais de quelle proportion de la population

    cette vie est-elle le quotidien en confinement ?

    Qui ne voit que le confinement

    fait exploser les inégalités sociales,

    les échecs scolaires,

    les violences intra-familiales,

    les troubles psychologiques

    et les renoncements au soin ?

    Qui ne sait qu’il entraîne déjà

    dans d’autres pays des soulèvements

    et des émeutes de la faim ?

    Et qui comprend que les oiseaux ont bon dos

    et que ces petits moments de répit procurés

    par la panique des humains

    ne sont rien au regard de leur lente extinction ?

    Quant à la démocratie, elle est mise sous cloche

    par l’état d’urgence permanent

    et le confinement.

    Qu’est-ce qu’une démocratie

    sans liberté d’aller et venir,

    de se réunir et de manifester ?

    Qu’est-ce qu’une démocratie où

    il n’y a quasiment plus personne

    dans les hémicycles

    des assemblées parlementaires ?

    Qu’est-ce qu’une démocratie où

    la justice est paralysée faute

    de pouvoir audiencier ?

    Qu’est-ce qu’une démocratie où,

    finalement, il n’y a plus qu’un pouvoir exécutif ?

    Qu’est-ce qu’une démocratie où

    tout ceci s’impose par la peur

    et la culpabilisation, voire la censure

    et la mise en accusation

    de quiconque refuse d’y céder ?

    Chacun, en conscience,

    tirera les conséquences qu’il veut

    de tous ces dramatiques constats.

    Nous n’appelons pas à la révolution

    et nous ne faisons pas de politique partisane.

    Mais nous voulons dire que nous en avons

    plus qu’assez qu’on nous demande

    de nous comporter comme les moutons

    de Panurge au nom d’un principe

    de précaution totalement dénaturé et

    d’interprétations statistiques

    relevant de la manipulation.

    Nous réclamons qu’on en finisse

    avec cette panique sanitaire,

    qu’on donne aux soignants

    les moyens de remplir leurs

    missions de santé publique,

    qu’on cesse de violenter des pans entiers

    de la société et qu’on sorte

    de cet état d’urgence permanent

    pour bâtir démocratiquement

    une politique sanitaire consensuelle.

    Signataires :

    Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS

    Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN

    Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097

    Paul Touboul, Professeur de cardiologie à l’université Lyon 1

    Pierre-Yves Collombat, ancien sénateur du Var, ancien vice-président de la commission des lois

    Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention

    Marc Rozenblat, président du syndicat National des médecins du sport-santé

    Christian Celdran, Directeur Régional des Affaires Sanitaires et sociales (DRASS) honoraire

    Chantal Brichet-Nivoit, médecin et correspondante de l’Académie d’Ethique à l’Université de Paris

    Dominique Eraud, médecin, présidente de la coordination nationale médicale santé environnement

    Louis Fouché, médecin anesthésiste, réanimateur hospitalier

    Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier

    Gilles Perrin, médecin anesthésiste réanimateur

    Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM

    Rose-Marie Castello, médecin du Travail

    Sroussi Hubert, médecin généraliste (Montbéliard)

    Cécile Bourdais, maîtresse de Conférences en Psychologie à l’Université Paris 8 Vincennes à Saint-Denis

    Marie Estripeaut-Bourjac, professeur Émérite à l’Université de Bordeaux

    Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers

    Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue

    Jean-Jacques Vallotton, médecin généraliste (39)

    Florence Lair, radiologue libérale, Blois

    Gilles Guglielmi, professeur de droit à l’Université Paris II Panthéon-Assas, Directeur du Centre de Droit public comparé

    Éric Desmons, professeur de droit public, université Sorbonne Paris Nord

    Alain Wurtz, professeur émérite de Chirurgie Thoracique, Université de Lille

    Bernard Dugué, ingénieur des Mines, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie

    Elizabeth Oster, avocat à la Cour, ancien membre du Conseil National des Barreaux

    Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS

    Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS

    Alexandra Menant, docteur en biologie, chercheuse au CNRS

    Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université Aix-Marseille

    Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie, Université de Bordeaux

    Éric Plaisance, professeur de sociologie à l’Université Paris Descartes

    Thierry Flaget, Conseiller principal d’éducation

    Marc Cognard, professeur de biologie et physique-chimie en lycée

    Cesare Mattina, enseignant/chercheur à Aix-Marseille Université

    Nathalie Chapon, Enseignante et Chercheure à Aix-Marseille Université

    Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille

    Marc Roux, professeur Honoraire de Zootechnie

    Pascale Gillot, Maître de conférences en philosophie, Université de Tours

    Charalambos Apostolidis, Professeur de droit international à l’Université de Bourgogne

    Didier Blanc, Professeur de droit public à l’Université de Toulouse

    Christophe Leroy, Biologiste, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire

    Dominique Domergue Anguis, gynécologue

    Evelyne Fargin, professeur de chimie à l’Université de Bordeaux

    David Lepoutre, professeur de sociologie, Université de Paris Nanterre

    Isabelle Vinatier, professeur émérite de sciences de l’éducation à l’Université de Nantes

    Marie Touzet Cortina, Maître de Conférences à l’Université de Bordeaux

    Murielle Dellemotte, Médecin du Travail

    Monique Lamizet, médecin

    Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon

    Monique Romagny-Vial, professeur des universités

    Jean-Jacques Robin, Juriste ancien directeur d’établissements médico-sociaux

    Sébastien Aubert, professeur agrégé de Génie Mécanique, Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers

    Laurence Maury, psychologue (psychologie sociale et cognitive)

    Isabelle Aubert, Maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux

    Thierry Gourvénec, pédopsychiatre

    Michèle Leclerc-Olive, chercheure retraitée CNRS-EHESS

    Hélène Banoun, pharmacien biologiste, Docteur ès-sciences pharmaceutiques

    André Cayol, enseignant chercheur retraité de l’Université de Compiègne Sorbonne

    Shanti Rouvier, Docteure en Psychologie Clinique et Psychopathologie

    Jean-Michel de Chaisemartin, psychiatre des Hôpitaux Honoraire

    Gilles Mottet, enseignant artistique compositeur

    Marta Barreda, Médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique

    Camille Allaria, Sociologue, chercheuse associée au CNRS

    Pierre Duchesne, Psychanalyste

    Michel Angles, médecin généraliste (12)

    Daniel Robinson, médecin généraliste (Ecully)

    Jean-Pierre Eudier, Chirurgien-Dentiste

    Christian Perronne, médecin infectiologue

    Christine Claude-Maysonnade, avocate (Tarbes)

    Eugenia Lamas, chercheuse en éthique, INSERM

    Hervé Joly, directeur de recherche CNRS, Lyon

    Sylvie Laval, psychiatre

    Daniel Chollet, médecin pneumologue

    Brigitte Agostini, infirmière libérale, Propriano

    David Esfandi, psychiatre-addictologue, Bordeaux

    Thiou Sandrine, médecin généraliste à Besançon

    Ariane Bourgeois, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine

    Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste, Villenave d’Ornon

    Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste Bourges

    Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale

    Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS

    Brigitte Weiss, Médecin généraliste

    Laura Giusti, Médecin psychiatre

    Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS

    Eric Bouvier, pharmacien

    Bernard Cornut, polytechnicien

    Mohamed Zelmat, biologiste médical

    Dominique Jaulmes, médecin retraitée, ancien PHTP AP-HP

    Anne Marie Begue-Simon, ancien maître de conférences des Universités en sciences humaines, ancien médecin et expert honoraire près des Tribunaux

    Tanguy Martinelli, médecin généraliste à Issigeac (Dordogne)

    Caroline Mecary, Avocate aux barreaux de Paris et du Québec, Ancien Membre du Conseil de l’Ordre

    Bernard Banoun, Professeur de littérature allemande, Sorbonne Université, Faculté des Lettres

    Hugues Debotte, Conseiller en droit

    Sendegul Aras, avocat au barreau de Strasbourg, Membre du Conseil de l’Ordre

    Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier

    Lisbeth Girard Claudon, Médecin généraliste

    Benoît Rousseau, juge des libertés et de la détention (Cayenne)

    Cécile Fortanier, docteur en Économie de la Santé, Cadre Hospitalier

    Delphine Rive, médecin généraliste (Rezé)

    Claude Gautier, professeur de philosophie, École Normale Supérieure de Lyon

    Nathalie Caradot, médecin généraliste

    Michel Soussaline, chirurgien AIHP- ACCAHP

    Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université

    Roland Pfefferkorn, professeur émérite de sociologie à l’Université de Strasbourg

    Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire de l’université d’Artois

    Lucie Jouvet Legrand, Maîtresse de Conférences en Socio-Anthropologie

    Caroline Petit, chercheuse au CNRS, USR 3608

    Pascal Lardellier, Professeur de sciences de la communication à l’Université de Bourgogne

    Aurélia Vessière, Chercheur en maladies infectieuses

    Marie-José Minassian, philosophe

    Fausto Lanzeroti, Ostéopathe D.O.

    Jean-Marc Le Gars, Avocat au Barreau de Nice

    Michel Deshaies, Professeur de Géographie, Université de Lorraine

    Thierry Orsiere, Ph D HDR, Ingénieur de Recherche en Toxicologie Génétique à Aix Marseille Université

    Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen

    Jacques Bouaud, chercheur en informatique médicale

    Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste (Besançon)

    Patrick Bellier, pneumologue

    Isabell Erhardt, médecin généraliste

    Franklin Joulie, Chirurgie Gynéco-Obst (Nantes)

    Pascal Sacré, Anesthésiste-réanimateur

    Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, formateur

    Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste

    Jeanine Jemet, médecin généraliste

    Rosa Gutierrez Silva-Lenud, infirmière, diplômée en Santé publique

    Claude Amzallag, musicien

    Bénédicte Helfer, Expert Science de Régulation

    Nicole Foulquier, Avocat (Beziers)

    Claude Murtaza, médecin généraliste

    François Gastaud, Chirurgien orthopédiste

    Gérard Ostermann, Professeur de Thérapeutique, Médecine Interne, Psychothérapeute

    Michel Boudet, Médecin généraliste

    Anne-Elisabeth Migeon, Diététicienne/Nutritionniste

    Béatrice Adam, Kinésithérapeute

    Maylis Ferry, post-doctorante en science politique au Centre Émile Durkheim

    Pierre Sonigo, directeur de recherche et développement

    Rik Verhellen, médecin généraliste

    Alain Le Hyaric, Médecin de Santé publique, Paris

    Koryna Socha médecin, PH, docteur en sciences médicales

    Jean Baptiste Mouzet, praticien hospitalier gériatre, Maine-et-Loire

    Gérard Le Roux, médecin généraliste retraité

    Jean Jacques Gandini, Avocat honoraire, Montpellier

    Marie Monguet, psychologue clinicienne

    Jean-Marc Rehby, médecin généraliste (Lille)

    François de Chabalier, psychiatre, épidémiologiste

    Cynthia Galand, infirmière diplômée d’état

    Jérôme Reynier, Docteur en psychologie sociale

    André-Pierre Bouillet, médecin généraliste (Talant)

    Jean-Dominique Michel, socio-anthropologue

    Maryse Pechevis, Avocat à la Cour (Montpellier)

    Nadège Pandraud, enseignant-chercheur à Aix-Marseille Université

    Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget

    Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice

    Heike Freire, philosophe et psychologue, spécialiste de la Pédagogie Verte

    Dominique Leiber, médecin généraliste

    Pascal Roman, Professeur de Psychologie clinique, psychopathologie et psychanalyse à l’Université de Lausanne

    Maxime Langevin, Doctorant en mathématiques appliquées

    Hélène Chollet, Docteur en médecine

    Béatrice Petit, médecin généraliste

    Raphaël Sendrez, masseur-kinésithérapeute et ostéopathe

    Nicole Chaudiere, pharmacienne

    Karim Souanef, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille

    Vincent Manns, médecin généraliste acupuncteur

    Martine Mérour, pneumologue

    Myriam Balsat, médecin généraliste

    Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste

    Anne Atlan, Directrice de Recherches au CNRS, Généticienne des populations et Sociologue

    Caroline Mouzet-Heaulme, Médecin généraliste

    Dominique Bouvier, pharmacienne

    Nicole Roattino, pharmacienne Praticien Hospitalier

    Evelyne Jaumary-Lapeyre, avocat, docteur en Science Politique

    Sybille Burtin-Philibert, Médecin spécialiste de Santé Publique

    Laurent Durinck, médecin anesthésiste

    Véronique Ahari, médecin nutritionniste

    Nathalie George, médecin du travail et épidémiologiste

    Frédéric Schnee, médecin gériatre coordonnateur en Ehpad

    Thierry Medynski, médecin généraliste

    Teddy Francisot, Avocat à Montpellier

    Blanche Magarinos-Rey, avocate au Barreau de Paris

    André Bonnet, avocat au barreau de Marseille

    Hélène Palma, maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille

    Jean Luc Wabant, avocat

    Guy Chapouillié, Professeur Emérite à l’ENSAV de Toulouse

    Évelyne Gandais, Dermatologue

    Nicole Karsenti, Médecin généraliste

    Fabien Giboudot, médecin généraliste (39)

    Gwennola Nouet Berthelot, docteur en médecine (49)

    Édith Delbreil, avocate au barreau d’Avignon

    Serge Rader, Pharmacien, Paris

    Valérie Giraud, Sage-femme sexologue

    Emmanuel Sarrazin, médecin généraliste

    Franck Enjolras, psychiatre et anthropologue

    Anne Catherine Martin, médecin généraliste

    Paul-André Bellot, chirurgien dentiste

    Francine Barouch, médecin Homéopathe (Nice)

    Catherine Delmas, médecin généraliste, Toulouse

    Jean Emsallem, médecin angéiologue

    Morgane Miègeville, cadre de santé

    Patricia Melot, médecin généraliste

    Sylvie Huitorel, infirmière libérale (56)

    Marc Arer, médecin généraliste (Saint-Etienne)

    Philippe Bos, anesthésiste-réanimateur retraité

    James Masy, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université Rennes 2

    Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire, université de Caen-Normandie

    Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste

    Lidia Wacheux, aide-soignante

    Bénédicte Dassonville, médecin généraliste

    Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber

    Tamara Baron, psychologue

    Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur (Gap)

    Pierre Maugeais, médecin généraliste (30)

    Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin Oto-rhino-laryngologiste, CHU Marseille

    Paul Report, retraité, ancien magistrat des tribunaux administratifs et cours Aude Meesemaecker, infirmière, naturopathe, Montpellier

    Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université

    Emmanuel Krivine, chef d’orchestre, directeur honoraire de l’orchestre national de France

    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

    Cela dit ......

    #RESTEZ PRUDENTS 

    #RESTONS UNIS DANS CES

    MOMENTS PEBIBLES .........

    #NOUS SOMMES PRESENTS

    POUR NOS MALADES ,PRIVES OU PUBLIC ;

    #ON EN VERRA LE BOUT ,

    VINCENT N'EST PAS  MORT POUR RIEN ..........##VOTRE DEVOUE OLIVIER ##

    Amicales Pensées


    2 commentaires
  • Le Souvenir de Ces guerres passées reste

    mais devoir se battre devant

    un ennemi invisible si présent pourtant .......

    Quelle sera notre chanson de fin s'il y en a une !!!

    Le jour le plus long ...........

    Le Jour Le Plus Long

    (Dalida)

    Nous irons au cœur du monde

    Par la poudre et le canon

    En comptant chaque seconde

    Car ce jour est le plus long

    Sous le fer et la mitraille

    Des milliers se coucheront

    Et le soir de la bataille

    Des milliers se compteront

    Le jour est long, le jour est long

    (Et la peur est tout au long)

    Et l'espoir est tout au fond

    Et les cris sont des millions

    Nous irons vers la victoire

    Par le sang des compagnons

    Qui ont fait marcher l'histoire

    En courant pour le jour le plus long

    Et la peur est tout au long

    (Et l'espoir est tout au fond)

    Et les cris sont des millions

    Nous irons vers la victoire

    Par le sang des compagnons

    Qui ont fait marcher l'histoire

    En mourant pour le jour le plus long

    Bon j'ai passé une année comme ça

    Je peux pas dire que j'ai mangé tellement de vache arrangée

    Source : LyricFind

    Paroliers : Paul Anka

    Nous en sommes arrivés à compter

    Nos combattants qui périssent

    chaque jour que Dieu fait .......

    Ils deviennent si nombreux que ,

    de les compter devient si dur ......

    Les Braves Petits Soldats .....

    (Certains sont encore prêts à y laisser Leur Vie ...) 

    Ces Malades qui arrivent

    chaque jour plus nombreux .....

    Certains s'en sortiront mais à quel prix ?

    D'autres garderont des séquelles ou

    y laisseront aussi "LA VIE "

    C'est Notre seconde Bataille ........

    Nous avons tiré leçons de La Première si meurtrière , cette seconde s'annonce pire hélas ........

    Pour beaucoup avouons le !!!

    Avoir pris des Vacances sans respects des consignes

    et à la rentrée toujours pas de respects

    qui ont de suite fait flamber la contamination ,

    Tous nos avertissements sont restés vains ......

    Désormais "Nous sommes épuisés

    mais prêts pour cette Seconde Vague déferlante .......

    Je ne juge personne mais

    le regard du CONSTAT si alarmant ,

    Bien à vous .....#PRESERVEZ VOUS 

    #RESPECTEZ LES DISTANCES 

    #RESPECTEZ LES CONSIGNES 

    #PORTEZ LE MASQUE AU MAXIMUM 

    La Bougie de La Guérison .......

    Si Toutes et Tous respectent

    ce qui est Préconisé

    "UN JOUR NOUS POURRONS

    NOUS AUSSI CHANTER 

    EN COULEUR DE SANG VERSE "VICTOIRE "

    Merci pour Votre Compréhension 

    Nicole , Marie , Paul , Nath , Olivier ,

    toute la Bande de Cht'is

    avec Vincent là haut qui veille sur Nous ....


    votre commentaire
  • La Bougie du Réconfort

    Qui cherche trouve dit on , Oui j'ai cherché

    Chez Notre Lili adorée et j'ai retrouvé .....

    Lire le commentaire 14 ...On comprend de suite ...

     

    Ah les Petits Petots lire le 11 édifiant ..........

     

    >Et Nath qui en remet une couche aussi .....à partir du 8

     

    Pensez vous sincèrement que l'on rajeuni

    c'est obligatoire  et Fatalement de rire ......

    Mais Ces Gars formidables

    sont et resteront de Purs Produits Ch'tis ....

    Nath en leur contact en est devenue une aussi ;

    Merci Les Enfants en Nos Pensées et Cœurs ,

    vous y êtes et  resterez à jamais 

    Nicole et Marie (Les Cheffes  si Terribles ) ...


    votre commentaire
  • "Je suis passée tout près de la mort" : 

    après le traumatisme de la réanimation,

     la longue reconstruction psychologique des patients

    Covid-19

    Des semaines,

     parfois des mois après leur passage en réanimation,

     des patients atteints du Covid-19 souffrent encore 

    d'un mal-être psychologique lié au choc de la maladie.

     La prise en charge, organisée le temps de la réadaptation,

     reste incomplète à leur retour à domicile.

    Assis au bord du lit, le regard souriant, 

    Philippe Cottereau attend le retour à sa vie normale.

    Lire la suite...


    1 commentaire
  •  Clic>>>

    Foyers d'infections ou Clusters .....à nouveau ...........

    COVID-19 bloc opératoire intubation

    bien loin pour les douleurs

    qu'une grosse Angine

    >>Rien de comparable et

    supporter cela quelques semaines ,

    retourner jusque sur le ventre ,

    dans tous les sens ........

    Imaginez vous ................

     

     


    3 commentaires
  • C'était bien la peine

    de ne pas avoir de défilé

    pour voir cela le soir .........

    Nous en sommes choqués toutes et tous .....

    un grand n'importe quoi ...

     Clic et regardez svp 

    De quoi se révolter pour Les Nôtres .........

     


    2 commentaires
  • gdes malades du Covid-19 témoignent de symptômes persistants après plusieurs mois

    Sur les réseaux sociaux, ils sont plusieurs milliers de personnes à évoquer des conséquences du coronavirus, de longues semaines après avoir été infectés.

    Des consultations "post-Covid" émergent peu à peu pour tenter d'expliquer cet état.

    "Marcher plus de quelques mètres" est maintenant une épreuve sportive, impossible à terminer pour Agathe. Depuis plusieurs mois, cette femme de 35 ans ressent un essoufflement continu, une fatigue "que je ne connaissais pas avant". Son corps, "très lourd", pourrait être celui d'une octogénaire. Il est celui d'une patiente qui, selon les diagnostics de plusieurs médecins, a présenté des symptômes "très évocateurs" du Covid-19.

    Sur les réseaux sociaux, leurs témoignages apparaissent accompagnés du hashtag #apresJ20, #apresJ60, parfois même #apresJ100. Des personnes affirmant avoir souffert du Sars-CoV-2 disent connaître encore de lourds symptômes, longtemps après leur apparition. D'après un suivi du CHU de Rennes, entre 10 et 15% des patients non-hospitalisés interrogés n'avaient toujours pas repris leur activité, six semaines après la maladie. "Ils présentaient toujours des symptômes inattendus, très invalidants",

    développe Pierre Tattevin, chef du service des maladies infectieuses.

    "Un tiers des patients avaient l'impression d'avoir perdu leur capacité respiratoire.

    Et 40% exprimaient une grande fatigue." 

    L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a évoqué cette réalité le 22 juin, lors d'une conférence de presse (en anglais) :

    "Certaines personnes ont des symptômes persistants, comme une toux sèche au long cours, de la fatigue ou le souffle court en montant des marches", a reconnu l'institution. Une étude néerlandaise, relayée par le site NL Times, a récemment montré que 60% des patients interrogés – environ 1 600 – présentaient toujours des symptômes respiratoires, près de trois mois après le début de la maladie.

    Pourtant, 91% d'entre eux n'ont pas été hospitalisés, et 85% de ces patients étaient en bonne santé avant le Covid-19.

    D'après Benjamin Davido, infectiologue à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Hauts-de-Seine),

    5 à 10% des malades du coronavirus pourraient être dans cette situation. 

    "Les symptômes étaient passés puis ça a empiré"

    Julie, 40 ans, a perçu de premiers symptômes "anodins" début avril. Un léger rhume et des éternuements, vite accompagnés d'une perte d'odorat. "J'avais des courbatures et de la fatigue, mais rien à voir avec ce que je connais actuellement", relate cette mère de deux enfants, "épuisée" après trois mois de maladie. Pour cette professionnelle de la protection de l'enfance en Ardèche, testée positive, la situation est passée d'un "petit rhume" à des insuffisances respiratoires mi-avril. Puis une rechute, il y a moins d'un mois. Julie décrit désormais "des migraines qui ne passent pas", des "nausées incessantes". 

    Les premiers symptômes d'Olivier,

    courant mars, semblaient eux aussi "plutôt légers". Des courbatures, une perte du goût et de l'odorat, des douleurs thoraciques et de la fatigue. "Le tournant a eu lieu début mai", à l'issue d'une accalmie de deux à trois semaines, raconte cet habitant de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), testé positif lui aussi :

    "Une pointe au cœur avec des picotements au cerveau m'a fait chuter. Mon corps tremblait. J'ai cru que j'allais mourir." Une batterie d'examens avec un cardiologue ne signale rien, mais des "sauts de cœur" reviennent pour cet homme de 44 ans "trois à quatre fois par jour". 

    De ces symptômes cardiaques naissent parfois des complications, comme l'a vécu Philippe, Parisien de 33 ans également testé positif par PCR. "J'ai été arrêté le 4 mars... jusqu'à la semaine dernière", résume le trentenaire travaillant dans le milieu de l'assurance. En plus de la toux et d'un essoufflement "qui ne partait pas",

    Philippe a développé une tachycardie – un symptôme "assez fréquent" parmi les patients suivis à Rennes, observe Pierre Tattevin. "J'étais déjà traité pour de l'arythmie et de l'hypertension, mais après la tachycardie, j'ai développé une insuffisance cardiaque", rapporte Philippe.

    En avril, j'ai débuté un nouveau traitement cardiaque, à vie. J'aurai toute ma vie un suivi cardiaque à cause du Covid-19.

    Philippe

    "Les symptômes sont passés, puis ils sont repartis. Et là, ça a empiré", confie de son côté Anne Rettien, artiste peintre et salariée d'un magasin dans la région de Metz (Moselle). Début mars, cette femme de 56 ans a souffert d'une toux persistante, d'acouphènes et de douleurs thoraciques.

    "C'était désagréable mais pas douloureux. Ça l'est devenu par la suite", décrit-elle. L'essoufflement est arrivé, tout comme les palpitations :

    "Mon cœur battait fort quand je montais cinq marches, alors que je fais d'habitude du sport quatre fois par semaine."

    Courant avril, après avoir été testée positive, les douleurs thoraciques d'Anne Rettien s'intensifient. La quinquagénaire, en permanence fatiguée, sent comme une personne assise sur sa poitrine. Un scanner détecte alors une fibrose pulmonaire récente, liée au Covid-19. "Il n'y a rien à faire contre cette fibrose, déplore-t-elle.

    J'aurai un scanner de contrôle dans six mois. Soit elle partira, soit elle ne partira pas." En arrêt et malgré des améliorations respiratoires, Anne Rettien vit toujours une vie "au ralenti". L'inquiétude la gagne :

    "Est-ce que je vais guérir ? Et quand ?"

    "Les médecins sont démunis"

    "Nous sommes face à un désert :

    un désert d'information, un désert de coordination médicale",

    dénonce un collectif de ces patients dans une tribune parue dans Le Journal du dimanche. Face à ce constat, Hélène Elouard a lancé une pétition pour "les oubliés du Covid-19".

    "Pour beaucoup d'entre nous, pas de formes alarmantes, alors, on nous a laissés de côté. C'est le stress, c'est l'angoisse, c'est psychologique, nous dit-on", écrit-elle.

    "Ce n'est pas normal que l'on ne prenne en charge que quand un test est positif", regrette cette femme de 54 ans. 

    Agathe assure ainsi ne pas avoir pu intégrer un service de rééducation post-Covid, faute de test PCR fin mars (à l'époque, seuls les cas graves étaient testés) et du fait de résultats négatifs en test sérologique.

    Des "faux négatifs" sont toutefois possibles, et des diagnostics médicaux, consultés par franceinfo, évoquent une infection Covid-19. Grâce à un proche, elle a finalement pu rejoindre un centre de rééducation ces derniers jours, près de Deauville (Calvados).

    "Les médecins sont assez démunis. Ils n'ont jamais vu ça : autant de symptômes avec un bilan clinique aussi parfait",

    commente la trentenaire. 

    Agathe dans un centre de rééducation,

    le 2 juillet 2020.  (AGATHE )

    "C'est normal, ça va passer", "Je ne sais pas", "Vous avez une côte coincée"...

    Voici, entre autres, ce qu'assure avoir entendu Flora ces derniers mois, alors qu'elle se présentait à des médecins avec d'importantes douleurs au poumon. "Le mal au thorax,

    je l'ai depuis trois mois", insiste cette vendeuse de 31 ans vivant à Dinan (Côtes-d'Armor), en arrêt depuis dix jours du fait de ces symptômes. "Certaines personnes nous croient à moitié : beaucoup nous disent 'non, c'est dans le mental'.

    Nous, on va les voir parce qu'on a mal."

    Nous ne connaissions pas ce virus il y a six mois.

    Des symptômes psychosomatiques sont souvent évoqués quand on ne trouve pas une explication anatomique à ce que l'on voit.

    Ça ne veut pas dire que ça l'est. 

    Pierre Tattevin

    Marjorie Neveu a vu sa médecin "25 fois en quatre mois". Cette cadre de l'Education nationale de 45 ans souffre encore "de problèmes à respirer, de douleurs musculaires et osseuses" et d'une "fatigue persistante". Après une pancréatite en février, la patiente s'est retrouvée plusieurs fois aux urgences en avril et mai, du fait de douleurs thoraciques trop importantes.

    Comme ce jour d'avril, où Marjorie Neveu, "complètement oppressée", n'arrivait plus à respirer.

    "On m'oriente alors vers un scanner et les aspects scanographiques montrent une atteinte Covid-19", relate-t-elle.

    "Puis, ils m'ont transférée aux urgences Covid. Ils m'ont fait un test PCR, revenu négatif. On m'a demandé de rentrer chez moi tranquillement."

    Le scénario se répète fin avril, puis fin mai. On lui prescrit des antibiotiques et antalgiques, et un médecin évoque "une crise d'angoisse".

    Le 18 juin, un nouveau scanner révèle que Marjorie Neveu souffre d'une embolie pulmonaire.

    Elle est hospitalisée six jours en unité

    Covid-19. 

    "Le corps médical est dans l'interrogation la plus totale", résume Grégoire Duquesnoy, âgé de 35 ans. Il y a un mois, cet habitant du nord de la France a consulté un pneumologue, démuni face à des gênes respiratoires très régulières depuis mars.

    "J'ai fait un test de capacité pulmonaire et j'avais une capacité de 77%, contre 130% lors de mes derniers examens, relate-t-il.

    J'ai perdu la moitié de mes capacités pulmonaires."

    Face à lui, le pneumologue évoque une "guérison Covid", mais reste dans le doute. "Même lui me disait que le confinement avait pu créer une psychose. Mais je n'ai jamais eu de problème avant. Je suis très sportif, et là, j'ai un état qui se dégrade."

    "Mon corps ne se remettra pas"

    Les douleurs thoraciques, l'essoufflement et un état général de fatigue sont les signes actuels les plus fréquents chez ces patients, constate Pierre Tattevin.

    "Samedi, je suis sortie dehors pour la première fois depuis longtemps", relate Marjorie Neveu. Ses douleurs thoraciques continuent de la réveiller la nuit. Elle ressent comme "des coups de poignard à chaque respiration".

    La moindre chose me demande un effort incommensurable. J'espère être sur la voie ascendante, mais je ne vois pas d'amélioration de ma fatigue. Je me casse la figure jour après jour.

    Marjorie Neveu

    Marjorie Neveu, hospitalisée pour une embolie pulmonaire à Mantes-la-Jolie (Yvelines).  (MARJORIE NEVEU )

    Si Julie n'a plus les symptômes respiratoires qu'elle a pu avoir, sa fatigue persiste encore. "Je suis épuisée, j'ai l'impression que mon corps ne se remettra pas", résume Julie. Cette mère se souvient avoir dû s'arrêter à deux reprises, alors qu'elle préparait une pâte brisée : "Tout le haut du corps me fait souffrir, et je suis très vite épuisée de tout."

    Comme simplement courir après son fils de 16 mois, ou lui donner son bain.

    L'essoufflement et l'épuisement ne sont pas les seuls symptômes à s'inscrire dans la durée. "J'ai eu le Covid-19 et des symptômes plus étonnants les uns que les autres se sont enchaînés", témoigne Florence, diagnostiquée par son médecin. En plus d'une gêne respiratoire et d'une grande fatigue, cette femme de 45 ans vivant en Ile-de-France décrit des maux de tête "quotidiens, très intenses", mais aussi des douleurs gastriques et de la diarrhée, fréquente parmi les personnes interrogées.

    "J'ai aussi des absences, des trous de mémoire : je ne vais plus savoir comment fonctionne le micro-ondes, ou oublier que j'ai appelé quelqu'un un après-midi et le rappeler le soir." Son mari l'aide beaucoup", tant chaque tâche ménagère est devenue difficile. La situation est la même pour Philippe, dont le conjoint "a beaucoup pris le relais" : étendre le linge, par exemple, n'est plus faisable. "Je dois m'asseoir et reprendre mon souffle, boire de l'eau. Comme si j'avais fait une séance de sport, alors que c'est un effort normal de la vie courante." 

    "Moralement c'est difficile"

    Quatre mois après sa contamination,

    Olivier sent qu'il commence à corriger son essoufflement à l'effort.

    Mais ses questions restent nombreuses, notamment sur des symptômes d'ordre neurologique,

    ou sur son odorat de nouveau altéré.

    Il y a quelques jours, le patient s'est rendu à l'Hôtel-Dieu à Paris,

    pour débuter un suivi de ces symptômes au long cours.

    Sa médecin "suit une centaine de personnes" dans le cadre de ce programme, relate le quadragénaire. 

    Ces consultations "post-Covid" sont nées récemment pour mieux prendre en charge ces patients toujours malades.

    Des études se lancent en parallèle pour leur apporter des réponses.

    A l'hôpital de l'Hôtel Dieu,

    deux études sont en cours sur la persistance et la résurgence de leurs symptômes,

    précise Le Parisien.

    En Suisse, ajoute La Tribune de Genève, l'hôpital de l'Ile à Berne se penche sur les séquelles à moyen et long terme du Covid-19. 

    A l'hôpital Foch de Suresnes (Hauts-de-Seine), le programme "Rehab-Covid", proposé trois demi-journées par semaine, a débuté le 12 juin. "Nous avons vu une quinzaine de patients, mais nous avons beaucoup de demandes :

    nous sommes presque plein jusqu'en septembre", explique Nicolas Barizien, chef du service de médecine physique et de réadaptation de l'hôpital. 

    Grégoire Duquesnoy consulte les résultats de ses examens médicaux à son domicile, le 2 juillet 2020.                                          (GREGOIREDUQUESNOY 

    Comme plusieurs témoignages                  L'évoquent, les patients suivis à Suresnes ont fait "une forme pas très grave et assez typique" du Covid-19, décrit le médecin.

    Ils ont ensuite connu "une période de convalescence de deux à trois semaines", puis une "résurgence de symptômes" multiples sur le tard.

    "On ne voit pas cela habituellement dans les maladies infectieuses",

    développe Nicolas Barizien.

    "Il y a beaucoup de signes – comme l'essoufflement, la fatigue ou des douleurs musculaires – que l'on retrouve dans des infections virales banales.

    Le Covid-19, lui, donne tous ces signes."

    Les signes ne sont pas surprenants. Ce qui l'est, c'est le fait de voir tous ces signes en même temps, et une résurgence des symptômes alors qu'on les croyait guéris. 

    Nicolas Barizien

    Pierre Tattevin partage ce constat d'un virus très déroutant.

    "D'autres groupes de virus, les hépatites virales par exemple, peuvent donner des fatigues prolongées.

    Ce n'est pas du tout attendu pour des virus respiratoires", relève le médecin. 

    De premières hypothèses émergent néanmoins.

    "Ce n'est pas une persistance du virus, plutôt une convalescence prolongée de tous les dégâts qu'a fait le virus à sa phase aiguë",

    constate Pierre Tattevin.

    "Cela ressemble plus à quelque chose de post-infectieux, de post-inflammatoire",

    poursuit-il.

    Les tachycardies pourraient ainsi être "une compensation du cœur face au manque d'oxygène et à la fatigue".

    Quant à l'atteinte du système nerveux,

    "c'est une piste sur laquelle on travaille, mais aucune lésion n'a été observée à ce stade", précise Nicolas Barizien. 

    Les deux médecins se veulent optimistes.

    A l'hôpital Foch, les premiers patients du "Rehab-Covid" voient déjà leur état s'améliorer. "La majeure partie des gens, après trois mois, sont totalement guéris",

    insiste Pierre Tattevin.

    Mais pour les patients toujours atteints,

    la perspective du rétablissement est encore lointaine.

    "Moralement, c'est difficile,

    confie Agathe.

    C'est une maladie marathon et

    on ne sait pas s'il y aura une fin.".............. 

    Rien n'est PIRE QUE DE RÉPONDRE A CETTE QUESTION "Est-ce que je vais guérir ?".......


    2 commentaires
  • Ne pensez vous pas qu'il y ait eu assez de décès , de malades dont la vie est fichue .....Certes oui Les soignants , les médecins sont et seront là(malgré les pertes parmi nous et ceux dont la vie ne tient qu'à un petit fil ) pour qui " Des inconscients , des irresponsables qui s'en fichent mais de grâce svp "PENSEZ A VOUS ET VOS PROCHES ...."Les gestes barrières non respectés etc............Après la Mayenne, la Bretagne va lancer une campagne grand public de tests du Covid-19, auprès de 63 000 personnes dans les Côtes-d'Armor. Le relâchement des gestes barrières et la flambée de l'épidémie de coronavirus dans plusieurs pays du monde font craindre une deuxième vague en France. Infos en temps réel.

     

    [Mise à jour le jeudi 9 juillet à 14h05] Le bilan mondial de la pandémie de coronavirus continue de s'aggraver : 12 millions de personnes ont été infectées par ce nouveau virus (dont plus de la moitié aux États-Unis et en Amérique Latine), et 549 534 en sont décédées, selon les dernières statistiques de l'Université John Hopkins. L'OMS craint un effet rebond au niveau mondial et a appelé le 3 juillet les pays touchés par le Covid-19 à "se réveiller" et à "engager le combat" : "S'il vous plait, n'ignorez pas ce que vous disent les chiffres", a déclaré le responsable des urgences sanitaires à l'OMS, le Dr Michael Ryan, lors d'une conférence de presse. En effet, dans les pays en plein hiver austral (21 juin-21 septembre), l'épidémie flambe : Amérique du Sud (Mexique, Brésil), Afrique du Sud, Australie. En France, le bilan est de 29 965 personnes sont mortes du Covid-19 (+32 ces dernières 24 heures) et 168 810 cas positifs. Santé Publique France a indiqué le 8 juillet que près d'un quart des infections par le SARS-CoV-2 restent asymptomatiques et qu'environ 50 % des transmissions surviennent durant la phase pré-symptomatique du patient source. Même si la situation épidémiologique est stable dans le pays, le virus pourrait revenir dès cet été, prévient l'infectiologue Eric Caumes, chef du service de l'hôpital La Pitié-Salpétrière qui avertit que "depuis quelques semaines, les courbes ne descendent plus". Dans un entretien accordé à l'AFP, le Pr Jean-François Delfraissy, Président du Conseil Scientifique Covid-19, confirme que "beaucoup d'éléments font penser qu'il pourrait y avoir un retour du virus pour la fin octobre ou le mois de novembre" d'autant qu' "il y a une perte quasi complète des mesures de distanciation, en particulier chez la population jeune" Mais pas qu'eux hélas .......

    Dernières infos en direct :

     

    Dans un communiqué du 9 juillet, l'ARS de Bretagne annonce le lancement cette semaine d'une campagne grand public de tests virologiques (tests PCR) et sérologiques du Covid-19, dans cinq communes du département des Côtes d'Armor : Saint-Brieuc, Yffiniac, Ploufragan, Langueux et Trégueux, représentant 63 000 habitants. Cette campagne s'organise sur la base du volontariat avec l'envoi de bons durant le mois juillet, par mail ou courrier à l'ensemble des assurés du régime général de l'Assurance maladie et de la Mutualité sociale agricole des communes concernées. Les porteurs de ces bons même s'ils n'ont pas de symptômes, pourront bénéficier gratuitement et sans avance de frais de ces deux tests dans le laboratoire de leur choix après avoir au préalable pris rendez-vous par téléphone ou internet. Chaque bon de dépistage donne droit à deux tests différents : un test virologique (test RT-PCR), par prélèvement nasopharyngé, qui permet de savoir si l'on est porteur du Covid-19 au moment du test ; un test sérologique, par prise de sang, qui permet d'identifier la présence d'anticorps et ainsi de savoir si l'on a été porteur du Covid-19 par le passé.

    Un rebond de l'épidémie de Covid-19 en France est possible en octobre/novembre, voire carrément cet été si les mesures barrières sont abandonnées, prévient le président du Conseil scientifique chargé de guider le gouvernement, Jean-François Delfraissy, dans un entretien à l'AFP.

    En Mayenne, un dépistage massif va être lancé. "Depuis le 25 juin le nombre de cas positifs au covid-19 en Mayenne a été multiplié par quatre et se porte aujourd'hui à près de 220 cas, explique l'ARS Pays-de-la-Loire dans un communiqué du 9 juillet. Différents indicateurs alertent sur la circulation active du virus avec des dépassement des seuils de vigilance: le taux de positivité chez les personnes dépistées est passé au dessus de 8,79 % et le taux d'incidence à 47,16 % pour 100 000 habitants (nombre de nouveaux cas sur les 7 derniers jours rapporté à 100 000 habitants). A ce jour, 6 foyers épidémiques (clusters) sont identifiés en Mayenne et de nombreux signalements ont été réceptionnés. Deux personnes sont hospitalisées en réanimation au CH de Laval depuis ces dernières 24h."  Plus de 900 tests vont être réalisés cette semaine dans le cadre de ce dépistage préventif.

    Le Pr Eric Caumes, infectiologue à l'hôpital parisien La pitié-Salpétrière prévient "Le virus continue de circuler. Depuis quelques semaines, les courbes ne descendent plus. (...) On revoit des malades arriver avec des Covid aigus" (..) "Dans mon service, on a été obligé d'ouvrir une deuxième partie pour accueillir des patients, car la première était pleine. Je n'avais pas vu ça depuis deux mois" a t-il déclaré sur LCI.

    Une étude publiée par Santé Publique France le 8 juillet confirme qu'un quart des infections par le SARS-CoV-2 restent asymptomatiques et qu'environ 50 % des transmissions surviennent durant la phase pré-symptomatique du patient source. Dans sa synthèse, l'Agence précise que la période de contagiosité serait maximale de 2 à 3 jours avant, et jusqu'à 8 jours après le début de symptômes. "Les mesures de distanciation et de port du masque ne doivent pas être réservées aux personnes malades, estime Santé Publique France. L'identification des contacts doit inclure des évènements potentiels de transmission dans les 2 à 3 jours avant l'apparition des signes chez un cas."

    La France est déconfinée mais toujours en stade 3 de l'épidémie de coronavirus depuis le 14 mars puisque le virus circule sur tout le territoire et plus uniquement dans certaines régions et villes. Au 8 juillet, l'épidémie est stable dans le pays. 168 810 cas positifs au coronavirus ont été recensés depuis le début de l'année. 7 297 personnes sont toujours hospitalisées pour une infection COVID-19 et 83 nouvelles admissions ont été enregistrées en 24 heures. 529 malades atteints d'une forme sévère de COVID-19 sont en réanimation. 18 nouveaux cas graves ont été admis en réanimation. Le solde reste négatif en réanimation, avec 9 malades de COVID-19 en moins par rapport à hier.

     

    A partir du 11 juillet : fin de l'état d'urgence sanitaire sur le territoire métropolitain : les croisières fluviales seront de nouveau autorisées ; les stades et hippodromes seront ouverts au public, avec une jauge maximale de 5 000 personnes. Comme pour les salles de spectacle, les activités rassemblant plus de 1 500 personnes devront donner lieu à déclaration, afin que puissent être garanties le respect des précautions nécessaires ; la jauge maximale de 5 000 personnes pour les grands évènements, les stades et les salles de spectacle est en principe en vigueur jusqu'au 1er septembre. Un nouvel examen de la situation épidémiologique nationale sera réalisé mi-juillet pour décider si un assouplissement est possible pour la deuxième partie du mois d'août.

     

    A partir du mois de septembre 2020 : sous réserve d'une nouvelle évaluation de la situation épidémiologique, la rentrée pourra être marquée par de nouveaux assouplissements : ouverture des établissements accueillants des foires, expositions et salons, ouverture des discothèques et des croisières maritimes internationales.

     

     La carte des départements en vigueur depuis le 2 juin, a classé en vert tous les départements de France métropolitaine. Seuls Mayotte et Guyane sont en orange puisque l'épidémie y est encore très active.

     

    → En France métropolitaine, le pic épidémique a été observé la semaine du 23-29 mars, soit une semaine après la mise en œuvre des mesures de confinement de la population générale, le 17 mars 2020. Le nombre le plus élevé de nouvelles hospitalisations pour COVID-19 a été observé au cours de la semaine du 30 mars au 5 avril.

     

    Nombre de tests réalisés, nombre de tests positifs pour le SARS-CoV-2 et taux de positivité dans les laboratoires, par semaine, France 2020

    courbe nombre de tests covid franceNombre de tests réalisés, nombre de tests positifs pour le SARS-CoV-2 et taux de positivité dans les laboratoires, par semaine, France 2020 © Santé Publique France

    Une deuxième vague très probable à l'automne

    Dans une interview accordée au Figaro le 7 juillet, Jérôme Salomon a indiqué que la France doit "se préparer à une reprise de l'épidémie, voire à une deuxième vague." Et d'ajouter : "Nous faisons tout pour tirer toutes les leçons de la première vague et anticiper au mieux avec l'ensemble des acteurs. Tous les services de l'État, les professionnels, les acteurs de terrain sont mobilisés pour gérer les clusters actuels et anticiper un rebond épidémique cet automne ou cet hiver."  Dans ce contexte,"plus que jamais, et même si ce sont les vacances estivales, j'appelle l'ensemble des Français à la prudence, à la vigilance et au bon sens en conservant les bons réflexes, les gestes barrières et d'hygiène car ce sont nos comportements individuels et collectifs qui conditionnent le risque de reprise de l'épidémie", a poursuivi le Directeur général de la Santé. Interrogé sur RMC/BFMTV mercredi 8 juillet, Jean Castex, nouveau Premier ministre a annoncé qu'en cas de seconde vague, il n'y aurait pas de reconfinement général comme au mois de mars avec des "conséquences terribles, économiques et humaines", mais qu'un plan de reconfinement ciblé était prêt"Lequel et de quelle manière nul ne le sait encore hélas mais nous nous y préparons !!

    Ne gâchez pas vos vies , de vos proches et tous pour n'avoir qu'en  Tète ohhhh cela n'arrive que chez les autres ...Hélas non ........

     Revenir mais pas en SANITAIRE ......

    Merci au moins de Faire un minimum .......


    1 commentaire
  •  oannis Haddock 

    16h

    Faites ce lien et voyer ce qui vous montre sur votre navigateur 

    @italiarevelacurardelcovid19

    Pourquoi se battre lorsque l'on voit ceci sur les réseaux sociaux ..........???? LA HONTE & Mensonges (2).....

    Pourquoi se battre lorsque l'on voit ceci sur les réseaux sociaux ..........???? LA HONTE & Mensonges (2).....

    Télécharger « Message FB.txt »

    (sans virus rassurez vous ) 

    (un peu long donc il ne me prend pas tout ;

    Il n'y a pas de mots forts assez pour notre ressentiment .....

    Les Italiens n'ont rien trouvé de plus que nous ;

    Ne suivez pas cet exemple donné par ces escrocs ..........

    Pensez à votre santé et Vie ....Les premières lignes tant applaudies chaque soir à 20h sont usées et il y a de quoi .....

    La Guerre n'est pas finie , tant que traitements , vaccins ne sont pas trouvés "La Bataille continue partout malgré ce déconfinement mais de grâce je vous en supplie ,

    #PENSEZ A VOUS #RESTEZ PRUDENTS SVP 


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  • Raz Le Bol de chez Raz le Bol des réseaux sociaux , 

    que vous alliez sur ce face de bouc , Twitter etc...Je m'en fiche royalement mais profaner , divulguer des conneries sur un sujet aussi important que cette guerre que nous menons de front sur Ce COVID-19 alors là non de non ;

    J'ai la RAGE et cette moutarde supère forte qui me sont montées aux nez .......

    Ne partager pas surtout pas ce qui suit comme message tout à fait erroné qui se publie sur "FACEBOOK " 

    S'il vous plait 

    (Suite en 2 ) 


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  •  CLIC sur ce lien >>>  Fabriquer son masque barrière rapidement sans machine à coudre

    Tuto vidéo pour fabriquer un masque rapidement

    L’Académie de médecine préconise le port du masque en tissu pour aller faire ses courses ou sortir en cas d’urgence. Par conséquent, il semble indispensable que tout le monde puisse en avoir un !

    Si vous n’avez pas de machine à coudre et que vous souhaitez fabriquer un masque barrière très rapidement, voici un tuto vidéo très utile !

    Tout d’abord, pour fabriquer votre masque maison, munissez-vous de tissu (taie d’oreiller, foulard, vieux tee-shirt, etc.), 2 élastiques et une paire de ciseaux.

    Ensuite, suivez les étapes de réalisation indiquées dans la vidéo.

    N’oubliez pas de laver votre masque en machine après chaque utilisation.

    Sur conseils du Chirurgien  Général montre comment fabriquer des masques faciaux (vidéo en anglais )


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  • Le plus grand flicage de tous les temps .............

    Télécharger « Le plus grand flicage de tous les temps.txt »

    lParfois je me demande si le gouvernement français n’a pas saboté la lutte contre le coronavirus.

     

    Je m’explique :

     Il n’y a eu aucune réquisition d’usine, ni de remise en marche d’un appareil industriel 

    capable de produire assez de simples masques en plastique lors de la pandémie. 

    Finalement, c’est seulement maintenant que le gouvernement nous dit qu’il devrait y avoir

     1 masque lavable en tissu pour chaque travailleur pour le déconfinement du 11 mai1 (Europe 1, 14 avril) ;

     

     

     Une capacité de test anémique: Le 11 avril, nous étions capables de faire seulement 70 000 tests par semaine.

     Soit 7 fois moins que l’Allemagne2. 

    Trois jours plus tard, Olivier Véran nous annonçait bien soudainement qu’on pouvait faire le double3.

     Bizarre. Les « raisons réglementaires » qui avaient bloqué la réalisation de 150 000 à 300 000 tests par semaine

     entre mi-mars et début-avril ont-elles été levées ? (Le Point, 3 avril)4 ;

     

     Un citoyen des Côtes d’Armor a acheté des masques en Chine pour les revendre à prix coûtant.

     Tous les masques ont été saisis par les gendarmes5 (Le Parisien, 3 avril) ;

     

     Le Monde (Les Décodeurs, 5 mars), sous prétexte de nous « désintoxiquer »,

     nous informe noir sur blanc qu’Agnès Buzyn a interdit la vente libre de chloroquine dès le 13 janvier 

    6. 

    Pourtant, la chloroquine était déjà à l’étude en Chine contre le coronavirus et le pays reconnaît que l’épidémie 

    a commencé à être prise en charge dès le mois de décembre

    7.

     

    Il faut généralement plus de 15 jours pour organiser et rédiger une étude scientifique, 

    donc il est probable qu’Agnès Buzyn ait été au courant du relatif succès de cette substance.

     En outre, cette étude se base sur des précédents :

     3 articles sur le lien entre chloroquine et d’autres coronavirus, qui remontent à 2008, 2013, et 20158;

     

     D’après Didier Raoult, la chloroquine fait partie des facteurs de baisse de l’épidémie en France9. Or le professeur a été régulièrement attaqué dans les médias. Chaque fois qu’une étude prouve l’utilité de cette substance (certes, avant que le malade ne se retrouve dans un état critique), elle « peine à convaincre »10 … Rappelons que selon la Cour des comptes, le gouvernement aide les médias à hauteur de 1,8 milliard d’euros par an en 2017, et ceci inclut 130 millions d’aide directe que reçoivent la quasi-totalité des journaux autorisés11 . Le gouvernement ne soufflerait-il pas aux oreilles des médias ce qu’il faut dire ?

     Emmanuel Macron a insisté dans son discours du lundi 13 avril sur la nécessité d’un vaccin et d’employer « tous les moyens possibles » pour résorber le virus12. Le même Emmanuel Macron qui était ministre de l’économie lorsque 13 000 lits d’hôpital ont été « fermés » sous la présidence de François Hollande. Et il a lui-même « fermé » plus de 4000 lits au début de son mandat (20 minutes, 18 mars13) ;

     

     En pleine crise du coronavirus, et avec les hôpitaux de la région Grand-Est aux abois, 

    le directeur de l’agence régionale de santé, Mr Lannelongue, a maintenu la décision de licencier 596 soignants. 

    Oui ceux qui sauvent des vies en ce moment se feront licencier ensuite ! (7 avril, Causeur14) ;

     

     On protège la population… mais pas les plus vulnérables: 6500 morts en maison de retraite,

     au 16 avril15, que la solitude et la coupure avec leurs proches n’a manifestement pas aidé à guérir (L’Internaute).

    Le virus, une belle couverture pour cacher ce qui ne va pas.

    Je suis étonné par une telle incompétence et une telle malveillance.

    D’ailleurs les Français ne s’y sont pas trompés, à pétitionner par centaines de milliers contre Edouard Philippe et Agnès Buzyn, pour mise en danger de la vie d’autrui.

    Listons donc les avantages que le gouvernement français a retiré et retire encore du confinement :

     Fin des protestations contre le régime des retraites… dont la réforme a été finalement suspendue ;

     

     Un 1er tour des municipales maintenu alors qu’il a été un moment clé de la diffusion de la maladie ;

     

     Suspension des libertés de se déplacer, de dépenser son argent, ou même de manifester.

     N’oublions pas que les interdictions de se réunir sont la règle en cas d’instauration de la loi martiale ou… de coup d’Etat ;

     

     Masquage de la crise économique qui couve depuis au moins 3 ans,

     avec des banques exsangues à force de spéculations, sous perfusion de la planche à billets.

     L’action de la Deutsche Bank, gavée de dettes jusqu’à la gorge est aujourd’hui à moins de 6€ après avoir été à 52€ il y a dix ans, 

    après la crise des subprimes. Si elle venait à tomber, toute l’Allemagne tomberait avec elle. 

    Il en va de même pour les banques belges et françaises ;

     

     Tentative anti-démocratique de vouloir mettre en place des « coronabonds» qui mutualiseraient les dettes européennes.

     Ceci constituerait une première étape pour l’établissement d’un budget européen, 

    puis d’un ministère et enfin, la dissolution de la France dans une Union européenne politique.

     Un fait aussi bien reconnu par les polémistes16, que par les financiers les plus froids

    17. On appelle ça le moment Hamilton

    18, en référence au geste financier qui a préludé à la création des USA ;

     

     Mise en place du « permis de se déplacer » sur smartphone, uniquement sur le site du gouvernement,

     qui ne manquera pas de conserver vos données IP19 ;

     

     Mise en place probable d’une application de pistage,

     qui rentrera officiellement dans votre répertoire et saura à qui vous parlez et combien de temps

    20. Elle permettra de suivre vos déplacements à distance, de vous ficher. 

    C’est ce qui se passe en Italie et en Chine. Peut-être même sera-t-elle reliée

     à l’enregistrement permanent de vos conversations qu’opèrent les constructeurs de téléphone à votre insu.

     De toute façon, l’exécutif n’a plus de contrepouvoir pour lui tenir tête, j’y reviendrai ;

     

     Sans compter qu’à l’instar des autres constructeurs de téléphone,

     Apple accède à toutes les requêtes du gouvernement pour pénétrer votre vie privée… 

    comme nous l’a appris un média public, France 24, et ce dès 201321.

    Appel à la désobéissance numérique !

    Voilà pourquoi je vous en prie, ne faites pas vos attestations par téléphone, 

    et n’installez jamais l’application du gouvernement. 

    Ceci n’a pas lieu qu’en France : les médias autorisés, de concert avec le pouvoir, 

    ont partout alimenté une terreur bien supérieure à la gravité de la maladie.

     Ce qui a donné lieu à la plus grande entreprise de flicage que l’humanité ait jamais connue. 

    En France, la CNIL ne représente aucune défense, puisqu’elle est une agence gouvernementale non-élue.

     L’assemblée nationale est majoritairement du côté du gouvernement, 

    et ses élus fantoches ne représentent aucun contre-pouvoir non plus.

    Quant à « l’opposition », avez-vous envie de la voir disposer des mêmes outils totalitaires ?

    Voulez-vous vivre comme en Chine ?

    Rappelons brièvement que plus on en sait sur votre santé, plus cela augmente les risques d’élever le coût de votre mutuelle,

     car tôt ou tard, on donnera à ces organismes de plus en plus de détails sur votre consommation médicale.

    Le secret médical est une boîte de Pandore qui a déjà été ouverte par ces organismes et le Big Data, depuis 201622. 

    Plus on aura de données sur vous, plus on pourra vous désactiver socialement : 

    si vous avez des idées « déviantes », on pourra révéler un adultère pour briser votre vie, 

    révéler vos blagues grasses pour vous faire virer, vous enlever des aides, des allocations, et même votre retraite.

    C’est le modèle chinois du « crédit social », qui note les individus

    23. Et cela ne tardera pas à arriver chez nous, pour nous contrôler électroniquement

     si on continue à se laisser faire.

    Il suffit qu’on sache assez de choses sur vous pour ne plus se retenir de les utiliser contre vous.

    Ce ne sont pas les robots, mais la nature humaine qui fonctionne ainsi.

    Ne laissons jamais le gouvernement mettre le nez dans notre vie privée par des moyens électroniques.

    Ne le laissons jamais nous fliquer officiellement par nos téléphones.

    Sinon, nous sombrerons dans le totalitarisme. 

    Quant à ceux qui veulent à tout prix faire confiance au gouvernement,

     je voudrais demander pourquoi il surveille si étroitement la population depuis quelques temps :

     Une augmentation drastique du nombre de caméras. 1200 à Paris

    24, soi-disant pour réguler la circulation… Il laisse aussi les concessionnaires des autoroutes en installer tous les deux kilomètres,

     ce qui est purement et simplement illégal sur une route

    25 ;

     

     La reconnaissance faciale arrive, comme l’admet Cédric O, le ministre du numérique, 

    qui affirme dans un long entretien qu’elle « va dans le sens de l’histoire » 

    26.

    Depuis Machiavel, c’est-à-dire depuis près de 600 ans, nous savons qu’un citoyen est d’autant plus libre 

    qu’il s’attend au pire de la part de ceux qui le dirigent.

    On se demande pourquoi le philosophe florentin a si mauvaise réputation !

    Portez-vous bien,

     

    Dr. Thierry Schmitz

     


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  •  

     En effet comme c'est bizarre ....

    Le coronavirus

    Le coronavirus

    il y a quelque chose qui ne va pas avec ce virus.

    Télécharger « Le Coronavirus.txt »

     

    Bon je ne sais ce qui se passe sur EKLA aussi plus possible de copier mes notes ? Atteint du Covid-19 insymptomatique  

    l 


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